| 03/04/2016 grottes Bauffie et dragonnières Bilan de la sortie: Il y a bien un actif mais nous avons opté pour ne pas prendre de néoprène. Malheureusement, après 100 m dans la cavité active, un boyau assez bas où coule la rivière et où il faut remper sur plusieurs mètres stoppe quelques-uns d'entre nous. Seuls Guilhem, Aude et Moi-même continuons le chemin. On est bien mouillé mais restant actif, on n'a pas froid. On enchaine les passages bas et haut (dont un long couloir haut type conduite forcée tout blanc de gours et de concrétions où il faut se mouvoir avec prudence.) dépôt de calcite flottante On finit par aboutir dans des salles de belles dimensions bien concrétionnées: gours, colonnes, draperies... draperies remplissage sous concrétion colonnes dans le couloir d'accès Au fond, Aude parvient à une trappe: un passage par le haut a été aménagé voici quelques années pour un éventuel aménagement touristique qui ne voit pas le jours. Au retour, on croise quelques sangsues mais quand on se "déssape", aucune n'est accrochée sur les cuisses (ouf) On rejoint les autres et on se restaure au soleil. Pour la suite c'est néoprène car la grotte des dragonnières est vraiment noyau sur la fin. Le chevalier de Gozon, commandeur des templiers de l'île de Malte, entraîna ses chiens à combattre un dragon dans cette cavité. D'où son nom. Rapidement, je me rend compte que la première partie habituellement à sec mais très boueuse est totalement noyau. Nous n'irons pas très loin...il faudra revenir à l'étiage pour tenter une potentielle traversée notée sur une vieille topo fournie par Laurent P. tant pis, on se console en allant à la pêche aux niphargus pour une étude au lycée et en passant quelques voûtes mouillantes... ça passe mais oui ça passe le nez dans l'eau mais ça passe là, il y a de la technique Participants : |